Séance de communication éducative Education comportementale Réeducation relationnelle Equitation en liberté L’étude comportementale de l’animal, la compréhension de son univers et de son mode de fonctionnement permet son approche et son éducation. L’utilisation d’une communication plus intuitive et proche de sa perception, plus respectueuse de l’intégrité de l’animal, en réduisant le stress et en établissant la confiance, permet une relation plus forte et plus durable entre l’homme et l’animal. Des outils éthologiques donnés au cavalier et un axe de travail établit entre les séances permettent la progression du couple et la résolution des problèmes de communication et de comportement entre le cheval et son cavalier.
Le rôle des émotions dans le comportement Comme l'activité énergétique du corps, l’activité émotionnelle est régie par la loi des cinq éléments et influence le comportement. Être capable de décrypter l’état psychologique du cheval permet de cerner sa personnalité et de comprendre ses attitudes comportementales. En comprenant l'animal dans ses limites physiques et psychiques (douleurs musculaires, peurs), nous pouvons adopter une attitude qui le met en confiance et en disponibilité pour un dialogue avec l'humain. Une fois cette porte ouverte, un travail sur les limites de l'animal (et de son cavalier !) peut être entamé avec sa coopération. Comme toute proie, le cheval est un être extrêmement réceptif et sensible au moindre stimulus du système neuroendocrinien. L’émotion contrôle la pensée mais la pensée contrôle difficilement l’émotion. Une émotion est un ensemble de réponses extrêmement rapides et intenses à un événement. Elle s’exprime par une composante comportementale, une composante neurovégétative et une composante subjective. Les sensations, les sentiments et les émotions engendrent un besoin comportemental. Quand l’animal est inconfortable dans une sitution, souffre physiquement ou est en souffrance psychique, il n’est plus à même de réaliser certains types de comportements normaux. Le processus comportemental général commence par une phase appétitive (exploration, envie), puis une phase consommatoire (le but est atteint, succès) et se termine par une phase d’apaisement (satisfaction) qui termine le comportement. Si l’une de ces phases n’obtient pas les conséquences fonctionnelles attendues ou que le but n’est pas atteint assez rapidement, le comportement devient répétitif, stéréotypé, persistant, démesuré ou anormal par rapport au contexte. Il devient alors caractéristique d’une frustration qui met en jeu le corps émotionnel et génère un mal être et des situations de stress. Dans le contexte vétérinaire, la notion de comportement chez l’animal est encore très souvent réduite au symptôme pavlovien, c’est à dire la simple satisfaction des instincts : se reproduire, bâtir un nid, trouver de la nourriture. La tendance est de considérer que l’instinct engendre un besoin comportemental et d’évacuer le paramètre émotionnel ou le réduire à des émotions basiques associées à l’instinct. Cependant force est de constater par l’expérience vétérinaire en élevage intensif, que sous l’effet du stress induit par l’entassement et l’impossibilité de satisfaire leurs besoins comportementaux, les animaux adoptent des comportements de substitution anormaux comme l’automutilation et le kronisme (tuer et manger sa progéniture) chez les porcs par exemple qui ne peut relever de l’instinct seul, lequel pousse principalement à la survie et non à l’autodestruction. L’émotion trop forte de la frustration et de la souffrance psychique supplante l’instinct et démontre que la force émotionnelle est le premier vecteur du besoin comportemental. Enfin si le monde vétérinaire avait un doute sur la possibilité d’une souffrance psychique chez l’animal, les neurosciences ont démontré les capacités cognitives de l’animal engendrant un état psychique. Si le stimulus est perçu comme menaçant sans possibilité d’ajustement pour l’animal, il y a une mise en jeu du système limbique. Tant que subsiste la possibilité de contrôler la situation, l’activation sympathico/médullosurrénale prédomine en régulant des activités nécessaires à la survie de l’animal telles la fuite ou le combat. Par contre quand l’animal perd le contrôle actif de la situation, l’axe corticotrope est activé, qui permet à l’animal de localiser sa place dans l’environnement physique et social. Si cette place ne s’avère pas adéquate au bien-être psychique et physique de l’animal, elle conduit au syndrome de la dépression.
Tarif 50 euros TTC l'heure + frais déplacement.
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